L’efficacité du coaching comportemental pour traiter les troubles

coaching comportemental

Généralement, les nouvelles approches thérapeutiques comportementales et cognitives (TCC) ont débuté a gagné le terrain depuis les années 1950 et les années 1960. Mais, quels que soient les résultats positifs escomptés et à l’origine des traitements des névroses, certains troubles se sont montrés plus compliqués et plus difficiles à traiter face aux thérapies comportementales durant ces moments. C’est Albertis Ellis et Aaron Beck qui ont offert d’autres issues conceptuelles et pratiques, en utilisant des notions plus mentales et des approches plus « mentales », comme les croyances ou les émotions. Soutenue par le questionnaire de mesure fait par Aaron Beck, par le biais du Beck Depression Inventory, l’approche a quand même obtenu des résultats persuasifs en la matière. Et c’est la méthodologie thérapeutique conceptualisée par Albert Ellis dans les années 1950 qui a raffiné la méthode, en analysant la dépression nerveuse et les troubles anxieux à travers la notion de « thérapie cognitive », référencée au concept de « cognition ». Cette dernière correspond aux procédés et processus mentaux, comme les pensées automatiques, monologues internes, processus de décision et d’imagination, processus émotionnel, etc., avec lesquels les individus analysent et traitent et les informations obtenues et diffusées. La thérapie se penche notamment et exclusivement sur ces procédés mentaux et comportementaux. C’est ce que Aaron Beck appelle « schémas ». Et c’est par le biais de ces derniers que le thérapeute agit avec ses patients afin de faire et effectuer les traitements utiles et nécessaires.

L’efficacité des thérapies comportementales cognitives selon les littératures scientifiques et les rapports publics

Les thérapies comportementales cognitives sont utiles pour résoudre les problèmes comportementaux et psychologiques. En effet, trois approches caractéristiques sont les plus prônées dans les traitements de problèmes comportementaux et psychiques, à savoir l’approche comportementale cognitive, l’approche psychodynamique ou approche psychanalytique, et l’approche familiale et de couple. Mais quels sont les niveaux d’efficacité respectifs de ces approches dans le traitement des troubles ?

Pour évaluer l’efficacité des divers types de traitements psychothérapiques et psychologiques, l’Institut National de la Santé et de la Recherche Médicale, ou INSERM, a regroupé des spécialistes des sciences médicales pour suivre et évaluer l’efficacité respective des trois approches thérapeutiques. En effet, il s’agit d’un groupe d’experts composé d’épidémiologistes, de psychologues et de biostatisticiens. Ces trois approches sont caractérisées par l’approche comportementale cognitive, l’approche psychodynamique et l’approche familiale. Ces approches sont surtout les plus utilisées en France.

Ce groupe d’experts et de spécialistes a évalué et analysé plus de mille articles académiques et scientifiques, tant nationaux qu’internationaux. Ce travail a duré pendant plus d’un an et a permis de faire sortir le rapport public qui s’intitule « Psychothérapie, trois approches évaluées ». C’est le premier rapport public de ce type qui a été réalisé dans le pays.

Les études ont révélé que 92 % des traitements comportementaux cognitifs ont permis une amélioration des attitudes et des efficacités professionnelles des patients concernés et traités. Concernant l’amélioration d’autosoins des patients, le résultat montre un niveau d’efficacité de 89 %. De plus, 84 % des traitements ont stipulé une amélioration de l’état de santé général des patients. Toutefois, il est à noter que des thérapies et des coachings peuvent même avoir un niveau d’efficacité au-delà de 95 %. C’est le cas pour les thérapies et les coachings offerts par Frédéric Arminot, un coach comportemental très compétent et fiable. Vous pouvez aller sur fredericarminot.com pour avoir plus de détails et des informations supplémentaires.

L’efficacité de l’approche comportementale cognitive et les TCC

La thérapie comportementale cognitive (TCC), ou Cognitive Behavioral Therapy (CBT), se sont basées sur les concepts de l’apprentissage. Ensuite, elles ont pris comme repère les théories cognitives du fonctionnement de la psychologie, et spécifiquement le formalisme du traitement et d’analyse de l’information. En fait, deux principes sont mobilisés pour soutenir et pour appuyer le succès ainsi que la réussite de cette démarche. Ces principes résident sur le fractionnement de la difficulté, en catégorisant les étapes à faire face, et la mise en valeur des comportements positifs et adaptés du patient par le biais du traitement.

Dans ce cadre, les interventions cognitives visent à changer les pensées irrationnelles que présente la personne en situation inadaptée ou de trouble. Concernant l’efficacité des thérapies comportementales cognitives, les scores ont montré que cette approche admet une efficacité de 93,75 %. Cette efficacité est surtout constatée dans le traitement de l’insomnie chronique et de la surconsommation d’hypnotiques.

L’approche psychodynamique ou approche psychanalytique

L’approche psychodynamique, ou approche psychanalytique se base sur les théories de la  psychanalyse. Elle inclut la transmission relative au fait qu’un individu se projette dans le présent et se met en relation avec des personnes tierces, avec des désirs ou des contextes anxieux qui sont liés à ses passés. Cette approche est issue des travaux conceptuels et pratiques de Sigmund Freud, un psychologue autrichien, initiateur de la psychanalyse. Ceux-ci se sont diversifiés en offrant une multitude de variétés cliniques comme la thérapie psychanalytique, la thérapie brève psychodynamique ou la thérapie interpersonnelle psychodynamique.

Les thérapies psychanalytiques sont des traitements qui doivent se faire pendant quelques années. En fait, ils visent à offrir des changements au niveau de l’organisation psychologique et au niveau de la structure psychique. Cependant, l’enquête de l’Institut National de la Santé et de la Recherche Médicale (INSERM) montre un niveau d’efficacité très faible pour cette approche. En effet, son rapport d’efficacité s’établit à seulement 6,25 %.

L’approche familiale et de couple

Dans l’approche de couple et familiale, la famille est prise comme étant un ensemble d’individus qui présentent des schémas comportementaux, émotionnels et cognitifs qui peuvent être gâchés par la présence de troubles psychologiques d’une personne parmi les membres de la famille. Les perturbations constatées au sein de cette collectivité de famille sont toujours considérées comme des effets et impacts induits par la maladie, et non pas retenues comme étant une source ou une émanation du problème observé.

Le comportementaliste informe la famille des caractères et des profils caractéristiques effectifs de la maladie, de son évolution et de son traitement ainsi que les attitudes adaptatives à entretenir et à adopter face aux perturbations liées même à la maladie concernée. Les résultats du rapport public de l’Institut National de la Santé et de la Recherche Médicale montrent que cette approche possède un niveau d’efficacité de 31,25 %.

Les thérapies comportementales cognitives sont les plus efficaces parmi les trois approches retenues

Toujours suivant l’étude lancée par l’INSERM, les thérapies comportementales et cognitives sont les plus efficaces. C’est également la conclusion retenue par d’autres instances internationales venant des États-Unis et du Royaume-Unis. En effet, l’étude a soulevé que l’approche comportementale cognitive a réussi à traiter quinze troubles sur seize (environ 94 % de niveau d’efficacité). Pour l’approche familiale et de couple, ce rapport est de cinq troubles sur seize, soit près de 31 % de niveau d’efficacité.

L’approche psychodynamique (psychanalytique), quant à elle, n’a réussi qu’à traiter un trouble sur seize, équivaut à un niveau d’efficacité d’environ 6 %. Les thérapies comportementales cognitives sont donc trois plus efficaces que l’approche familiale et de couple. De même, elles sont quinze fois plus efficaces que l’approche psychodynamique. L’Elsevier Masson a même suggéré que le fait de diffuser les thérapies comportementales en ligne est un moyen très pertinent pour répondre aux problèmes majeurs de santé publique.

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